L’ENGRENAGE DU DESTIN

L’engrenage du destin

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Le relieur s’éloigna du fournil, l'attention fixe, le cœur lourd d’un poids qu’il ne pouvait diagnostiquer. L’évidence l’écrasait : il n’avait aucune sorte de talent sur ce qu’il venait de découvrir. Tout s’était déroulé tels que email dans le manuscrit. Le boulanger était tombé, sa turpitude avait persisté inévitable. Même en dès lors ce qui allait concerner, il n’avait rien pu attirer pour remanier la suite des événements. Était-ce une malédiction ou une manie immuable du microcosme ? L’écho du choc résonnait toujours son corps. Il ne savait pas s’il devait se voir coupable d’avoir s'étant rencontré chambrée ou s’il devait continuer la fatalité. Arrivé à son usine, il ferma la porte en arrière lui et s’approcha du livre resté ouvert sur son établi. Les données n’avaient pas changé. L’histoire était extrêmement là, inscrite à l’encre black, notamment si le manuscrit l’avait su évident même que le relieur ne quitte la pièce. Il tourna la chronique avec une trac nouvelle. Un autre dénomination apparut. Un marchand d’étoffes. Son avenir y était transcrit avec la même minutie, la même froideur. son futur, il chuterait du quai en chargeant une cargaison et se noierait dans mulhouse. Le relieur sentit un frisson protéger le long de sa colonne vertébrale. Lui restait-il une option ? Se rendrait-il sur place une fois encore, avec l’espoir illusoire de glisser ce qui était déjà courriel ? Ou devait-il supporter que la voyance Olivier, cette vision cartésienne qui prétendait exprimer l’avenir aux âmes à la recherche d'authenticité, ne servait en réalité qu’à encourager, impuissant, à la mécanique implacable du sort ? Il referma le apporte d’un acte ponctuel. Il ne désirait plus décrypter. Il ne voulait plus nous guider. Mais le pouvait-il encore ? Car si tout nuit, l’encre continuait à étiqueter les naissantes tragédies, combien de générations faudrait-il premier plan qu’un patronyme, plus savoir encore, n’apparaisse sur ces lignes maudites ? Le sien. Et cette fois, qui pourrait en se modifier la suite ?

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